calogero en concert a lievin le dimanche 13 juillet

Publié le par alain

 

Découvrez Calogero!
un super concert, pas grand chose a dire ,calogero est une vraie bete de scene les mots me manque,et une bonne soiree en compagnie de mes amis!!!
les blaireaux(pas mal )avec des textes plein d humours et de véritést inquiete pas paul il arrive!!!!!
en apesenteur!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
la presse en parle:

Calogero21h30 précises. Le ciel (redevenu totalement bleu) commence à décliner sur le Val de Souchez, et Calogero apparaît à l'heure précise au milieu de ses musiciens.

Hystérie à Liévin dans le public venu en très grand nombre applaudir leur idôle. Le théâtre de verdure est dès les premières notes acquis à la cause du chanteur, et les milliers de fans (on peut sans risque annoncer 20.000 spectateurs) reprennent en choeur les tubes de leur "Calo". De "Game Over" à "si je pouvais lui manquer", le son lourd déverse des décibels à qui mieux-mieux afin de se répandre dans cet espace habituellement si serein.

Ci-dessous, les premières photos du concert, qui devrait se poursuivre jusque 23h15.

Nord Eclair - 15/07/2008
Premier festival de Liévin on ne peut plus réussi !

 Les spectateurs sont arrivés dès 16 h 30 sur la base de loisirs du Val de Souchez. Ils ont pu voir et entendre Calogero dès 21 h 30.

Rebaptisées en Festival de Liévin, les festivités du 14 juillet à Liévin ont rassemblé entre 25 000 et 30 000 personnes, dimanche soir au Val de Souchez selon les organisateurs.
Une vraie réussite.


CLAIRE SERRE > st-ce la météo qui a attiré tant de monde dimanche sur la base de loisirs du Val de Souchez à Liévin ? Peut-être. Est-ce le changement de nom des traditionnelles fêtes du 14 juillet en Festival de Liévin ? Peut-être pas. Ou alors est-ce l’affiche ? Il y a de grandes chances. La municipalité avait en effet opté pour des artistes régionaux (le Lillois Rodrigue et le groupe Les Blaireaux) avant de recevoir un « coup de coeur » national (le chanteur Ours) et une tête d’affiche nationale : Calogero. Bref, rien à voir avec les étoiles filantes de la Star Academy de l’année 2007...
Quoi qu’il en soit, le pari est gagné ! En effet, les plus optimistes tablaient sur 30 000 spectateurs. Ils auront été plus de 25 000. « J’ai rarement vu autant de monde... soulignait Alice, Liévinoise de 55 ans. Cette soirée est une vraie fête populaire. Et gratuite en plus ! »
Calogero enflamme la scène
« Le cadre du Val de Souchez est extraordinaire, reconnaissait Rodrigue. Un public et des conditions comme ça, je prends tous les jours ! » « Moi, je suis venue pour Calo, racontait Amandine, 12 ans installée juste devant la scène. Je suis venue avec mes copines et mes parents qui sont un peu plus loin derrière. » Calogero a interprété les principaux tubes de son dernier album Pomme C.
Pancartes aux messages élogieux ou amoureux en main, téléphones portables en guise d’appareil photo, les fans du bassin minier ont su apprécier ce festival à sa juste valeur de A à Z. Chapeau !
Tiré vers 23 h, le feu d’artifice a clôturé la soirée de cette fête nationale. •

En un soir, Liévin a doublé sa population !
» édition de Liévin » à la Une

un public de connaisseurs pour RodrigueLes cieux seront restés cléments durant les 7 heures du Festival de Liévin, dimanche au Val de Souchez. Si les spectateurs n'étaient que quelques centaines en milieu d'après-midi, c'est une foule immense qui a au final acclamé la tête d'affiche, le grenoblois Calogero. Un cru 2008 qui restera gravé dans les mémoires des quelques 30.000 spectateurs de cette folle veillée de fête nationale. Retour sur une soirée durant laquelle Liévin aura doublé sa population, et vécu "en apesanteur".

Rodrigue : dé-ca-lé !

Le public ne s'y est pas trompé en convergeant par milliers sur l'espace de verdure. Dès 16h30, les lillois "Rodrigue" distillaient leurs chansons aux quelques centaines de spectateurs venus en connaisseurs. Tâche délicate pour ce groupe nordiste, dont la mise en scène, faite entre autres de costumes de courtisanes semble plus adaptée aux petites salles qu'aux plateaux d'artistes en plein air. Peu importe, l'alchimie a malgré tout bien fonctionné, et le public a ainsi pu se laisser prendre au jeu, parmi les délires du chanteur, véritable OVNI emplissant à lui seul l'espace de la grande scène artésienne.

OursOurs : un animal bien léché

Pour bon nombre de spectateurs, le concert d'Ours a été une découverte. Et que celle-ci fut heureuse ! malgré un seul album à son actif, Ours a su, par sa griffe, mélant voix douce et humour simple, attirer la sympathie du public, qui a pu reprendre avec lui ses refrains, sur des airs de salsa ou de zouk. Une véritable invitation au voyage, alrgement partagée avec l'assistance.

Un bon coup de Blaireaux

Les BlaireauxAlors que la foule se fait chaque minute un peu plus dense, c'est aux Blaireaux qu'incombe la lourde tâche de d'interpréter leur répertoire festif juste avant l'entrée de Calogero sur scène. Si le groupe est coutumier des salles, ils ont enchaîné leurs titres à une vitesse folle, délaissant un peu pour une fois leurs intermèdes théâtraux. Le dosage entre chansons et dialogue avec le public est parfait : une farandole voit même le jour juste devant la scène. Les blaireaux sont de bien drôles d'animaux...

Calogero met Liévin en "apesanteur"

CalogeroC'est devant un parterre de plusieurs dizaines de milliers de spectateurs (entre 20.000 et 35.000 selon les sources), que Calogero apparaît enfin à 21h30 pétantes, au milieu de ses musiciens. Hystérie collective des dix premiers mètres de l'assistance, qui se pâme aux premiers accords du chanteur. Calogero, qui était arrivé sur le site à peine deux heures plus tôt et n'avait pas quitté l'espace réservé aux artistes, ne réservant ses autographes et ses sourires qu'à quelques rares privilégiés, était habillé d'une veste de cuir, qu'il abandonnera dès la troisième chanson. Enchaînant les tubes repris en choeur par une assistance litéralement en transe, Calogero a accompli un parcours sans faute, visitant son répertoire tambour battant. Parfois surprenant, avec cette reprise de la chanson écrite par Gainsbourg pour France Gall en 1965 ("poupée de cire, poupée de son"), qui avait représentée le Luxembourg dans le concours de l'Eurovision ("un concours dans lequel on ne gagne jamais", ironise-t-il). Après un second rappel,  l'artiste est aussitôt reparti à bord d'une grosse cylindrée, juste avant le lancer du feu d'artifice.

les gagnants en VIPConvergeant des régions de Lens, Douai et St Omer, les trois gagnants à notre concours ont pris la pose face à nos objectifs, histoire d'immortaliser ce moment d'exception. Ils ont pu assister au Festival de Liévin depuis l'espace réservé aux V.I.P.

Si la puissance du système de son était à la limite du supportable en front de scène, elle aura au moins permis au public moins proche de bénéficier d'une écoute d'excellente qualité (Les fans de Calo, habitués des salles de la région ont sans hésitation préféré la qualité acoustique de cet ancien site minier aux grandes salles lilloise ou douaisienne). un public nombreuxPar contre, au niveau visibilité, les spectateurs un peu éloignés n'ont pu qu'entrevoir la tête d'affiche de ce festival :  Les spectateurs arrivés tardivement sur le site étaient parfois distants d'une centaine de mètres de la scène, et ne pouvaient qu'entrapercevoir Calogero (aucun écran géant n'avait été prévu). La rareté des cabines de toilettes a également été sujet à polémiques, surtout quand la file d'attente dépasse la demi-heure, mais le Festival de Liévin est encore jeune et ne demande qu'à s'améliorer au fil des années...

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P
pret pour le voyage depart 18h00
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